Si je peux me permettre d'ajouter un truc concret, FongiQuest75, pour démarrer, familiarise-toi avec les diagrammes de Gantt. C'est super utile pour visualiser l'avancement d'un projet, identifier les tâches critiques et les dépendances. Il existe plein de tutos en ligne et d'outils gratuits pour t'entraîner. C'était un conseil que j'aurais aimé avoir plus tôt !
Salut tout le monde ! 😊 Je me demandais si certains d'entre vous avaient de l'expérience avec Google My Business pour les concessions auto. On a pas mal de véhicules différents et j'aimerais savoir si on peut créer des annonces distinctes pour chacun, ou si on est limité à une seule annonce globale pour la concession... 🤔 C'est pour essayer d'améliorer notre visibilité en ligne, vous voyez. Merci d'avance pour vos retours !
FongiQuest75 a raison, la diplomatie, c'est la clef. On peut dire non, mais faut que ça passe crème. Genre, au lieu de dire "non,jepeuxpas,j'aitropdeboulot", on peut dire "jesuisdéjàsurchargé,maisjepeuxregarderçalasemaineprochaine,sic'estokpourtoi?" ou alors "Jenepensepasêtrelameilleurepersonnepourça,maisjepeuxteconseillerquelqu'unquipourraitt'aider". Ça évite de froisser les gens et de se mettre à dos des collègues.
Après, pour la priorisation, c'est vrai que c'est un art délicat. Faut pas juste regarder ce qui est urgent, mais aussi ce qui est important pour le projet. Perso, j'utilise souvent la matrice d'Eisenhower (urgent/important) pour m'aider à faire le tri. Ça permet de visualiser rapidement ce qui doit être fait en priorité, ce qui peut être délégué, ce qui peut être reporté et ce qui peut être purement et simplement supprimé. C'est super simple, mais ça aide bien à y voir plus clair.
Et puis, faut aussi se rappeler qu'on n'est pas des machines. On a le droit de prendre des pauses, de se déconnecter, de faire autre chose pour se changer les idées. Parce que si on est constamment sous pression, on finit par craquer et on devient moins efficace. D'ailleurs, à ce propos, c'est marrant de voir que la "rigueuretméthode" est souvent mise en avant, mais que la "résilience" est parfois oubliée. Pourtant, c'est une compétence essentielle pour tenir sur la durée, surtout dans un métier comme assistant chef de projet où on est constamment confronté à des imprévus et à des challenges. Faut savoir encaisser les coups et se relever, sinon on ne fait pas long feu. Donc, oui à la priorisation et à la diplomatie, mais aussi à l'écoute de soi et à la bienveillance envers soi-même. 🙂
Hello !
Bon, petit retour d'expérience suite à vos conseils.
Les posts, c'est vrai que c'est assez simple à gérer et ça a permis de mettre en avant quelques modèles spécifiques. On a vu une petite augmentation des clics vers notre site, donc c'est déjà positif. Par contre, faut vraiment penser à mettre à jour souvent, c'est un peu chronophage.
Pour les LocalInventoryAds, on est en train de regarder, mais c'est un peu plus technique. Faut qu'on voit si l'investissement en temps vaut vraiment le coup pour nous. Merci en tout cas pour les pistes !
C'est une excellente question. Je pense que c'est un peu tout ça à la fois, mais avec des nuances.
Effectivement, le côté réglementaire est un vrai frein. Entre les normes environnementales qui évoluent sans cesse et les permis de construire qui prennent des mois à être délivrés, on perd un temps fou. Sans parler de la complexité administrative... On se noie vite sous une montagne de paperasse. C'est décourageant, surtout au début, quand on a déjà tellement d'autres choses à penser. Presque 20% des problèmes initiaux viennent de là.
Ensuite, le financement. C'est le nerf de la guerre, et c'est hyper tendu. Les banques sont frileuses, surtout pour les jeunes entreprises du bâtiment. Elles demandent des garanties énormes, et les taux d'intérêt sont souvent dissuasifs. L'accès aux aides est un vrai parcours du combattant aussi... Il faut monter des dossiers complexes, justifier chaque dépense... C'est chronophage et énergivore. Ne pas bien évaluer son prévisionnel financier, c'est la noyade assurée. Je dirais que ça représente bien 30% des galères rencontrées.
Et puis, il y a la pénurie de main-d'œuvre, c'est un problème majeur. Trouver des maçons, des plombiers, des électriciens qualifiés, c'est devenu mission impossible. Les jeunes ne se tournent plus vers ces métiers, et les anciens partent à la retraite. Du coup, on est obligé de faire appel à des intérimaires, qui coûtent cher et ne sont pas toujours fiables. C'est un cercle vicieux. Sans parler des risques liés au travail sur les chantiers, qui augmentent avec le manque de personnel formé. Et le manque d'info sur les aides n'aide pas.
Après, faut pas se leurrer, il y a aussi un blocage psychologique. La "peurd'entreprendre" est bien réelle. On a peur de l'échec, de se planter, de perdre de l'argent. On préfère rester dans sa zone de confort, même si on a de bonnes idées. Et puis, il y a la "craintederéussir", paradoxalement. On se dit qu'on ne sera pas à la hauteur, qu'on ne saura pas gérer le succès. C'est bête, mais ça existe. Il faut s'accrocher et bien s'entourer, et ne pas négliger son réseau, clairement.
Bref, c'est un cocktail explosif, mais si on est bien préparé, si on anticipe les difficultés, si on ne baisse pas les bras, on peut s'en sortir.